commentaire : de George Moore, on avait déjà lu les Confession d'un jeune Anglais, où il est beaucoup question de la vie que mena cet Irlandais à Paris dans les années 1880. Il voulait devenir peintre, mais renonça à cette vocation pour se tourner vers l'écriture. Il rencontra tout ce que le Paris fin de siècle comptait de gens de lettres et d'artistes. Il revient pour une bonne part sur cette période dans ses Mémoires de ma vie morte. L'achevé d'imprimer de notre volume, la 14ème édition de la traduction française, nous a réservé une petite surprise.
Son pote Manet l'a portraituré. Du genre hirsute et incontrôlable, on dirait.
RépondreSupprimerhttp://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/3/3e/Edouard_Manet_Georges_Moore.jpg
Son côté irlandais.
RépondreSupprimerIl y aurait peut-être quelque chose à faire, avec ces surprenants achevés d'imprimer (bien que cela ne doive pas être si fréquent). J'ai quelque part je ne sais plus quel nrf Claudel achevé d'imprimer le 30 février 1930 (ou 1929, je ne parviens pas à remettre la main dessus)…
RépondreSupprimerJe me suis d'ailleurs toujours demandé comment ça se passait, cette histoire, au temps des presses typo : l'AI était-il composé en même temps que le reste du livre et celui-ci imprimé au jour défini, ou bien l'imprimeur composait-il lui-même l'AI au dernier moment ?
30 février ? Pas mal ! Encore un appel à lancer...
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