Emplettes



commentaire : une affaire criminelle fascinante, jamais vraiment résolue (voir ici, c'est un peu long à raconter). Marie Capelle-Lafarge a publié plusieurs ouvrages pour raconter son histoire, mais celui-ci est à part, puisqu'il s'agit d'un journal de captivité, particulièrement réussi paraît-il. Intrigué par la “Maison Dorée” dont il est question en page de titre, on a découvert qu'il s'agissait d'un des plus célèbres restaurants de la seconde moitié du XIXe siècle, ouvert en 1841 et fermé en 1902 (voir ici).


On est devenu un inconditionnel de ces livres de chez Stock 2 (maquette de Pierre Faucheux, tiens, tiens…) Et au vu de sa quatrième, on sent que celui-ci ne va pas nous décevoir. 



Dans le même registre que le précédent, ce livre publié un an plus tard chez Pauvert.


Une curiosité, étrangement perdue au milieu de magazines et de bandes dessinées. Assez rare, inutile et fascinant.


Un petit livre dont on ne sait pas trop quoi dire, sinon qu'on l'a trouvé trop sérieux et assez ennuyeux. Le texte fut publié à l'origine dans The New Review, en 1965. 







On n'espérait pas tomber un jour sur ce livre, qu'on recherchait pourtant pour y lire les passages consacrés à René Guetta, personnage étonnant qui fut un grand ami de Pierre de Régnier. Cette autobiographie se lit sans ennui, Paul Meurisse ayant une plume vive et acérée des plus plaisantes. Et c'est une occasion de redécouvrir cet acteur un peu oublié.


Rien de bien passionnant (en tout cas de nouveau, hormis deux auteurs afro-américains qu'on ne connaissait pas vraiment, Leroi Jones et Hart Leroy Bibbs). Il y a heureusement l'interview de Bizot et Burnier, assez décapante.



On ne connaissait pas cet auteur franco-australien (1869-1939) au parcours singulier (voir ici), qui fut redécouvert à la faveur de ces deux livres (plus un autre, L'Écharde), publiés à la fin des années 1980. Intriguant…



On aime bien ces catalogues récapitulatifs, qui se parcourent en rêvassant, et permettent parfois de repérer des ouvrages dont on décide soudain qu'il nous les faut absolument. 



Commentaires

  1. Ou la la, redoutable la couverture du Reich ! Ceci dit le Reich l'est, redoutable.

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    1. Je ne sais toujours pas pourquoi j'ai acheté ce livre, pour tout dire.

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  2. J'ai déniché mon exemplaire de l'autobiographie de Paul Meurisse dans un "second hand" du Centre social protestant de Genève qui offre quelques fois aux chineurs obstinés de bonnes surprises. Je n'ai pas été déçu. L'acteur avait une bonne plume. Je l'ai rangé à côté des "Mémoires d'une fripouille" de George Sanders. Cette génération avait de la branche.

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    1. Oui, c'est vraiment un livre à garder. L'anecdote (très secondaire, j'en conviens) du danseur mondain qui glisse un petit pain dans son slip a fait mes délices… Si vous aimez le style de PM, vous devriez aller faire un tour sur Instagram : le compte de Jean-Marie Périer devraiit vous plaire.

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  3. Meurisse fut le bref époux de Michèle Alfa, une star oubliée de lOccupation dont la beauté (blondeur, grands yeux clairs, petite bouche de canard) me rend tout mélancolique et attendri.






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    1. Oui, il en parle beaucoup dans son livre. Elle est morte au Vésinet…

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