emplettes

 


commentaire : on a longuement hésité, et puis, décidément, le titre a été le plus fort.


On se promet régulièrement de ne plus acheter des romans de cette série, de qualité très irrégulière. Et puis là, outre le fait que le volume était en excellent état, le résumé figurant sur la jaquette nous a intrigué. On a bien fait : c'est enjoué, très drôle, écrit d'une plume alerte, avec de nombreuses et facétieuses références fifties. Forcément, on s'est demandé qui donc se cache derrière le pseudonyme de Manuel de Cuebbas. Internet ne nous a donné aucune réponse. Et puis, à la toute fin du roman, une indication nous a intrigué : “La Chapelle-Hermier Juin-Juillet 1956” Une recherche Google : La Chapelle-Hermier écrivain… et hop, on est tombé sur la page d'un blog (ici) évoquant un certain Jean Burnat, au sujet duquel il est notamment écrit : “Il devait dans les années 50 et 60 publier une trentaine de livres solidement inspirés de sa culture historique et appuyés sur un vrai sens de l’humour et une séduisante fantaisie burlesque.” Si Blondes en Sorbonne n'est pas cité, pas plus qu'il ne l'est dans la page Wikipédia de Jean Burnat, on est absolument certain que Manuel de Cuebbas = Jean Burnat. Une découverte qui ne va évidemment rien changer à la face du monde, mais on est assez content de nous…



No comment.


Petit programme du Dom Juan mis en scène par Louis Jouvet en 1947 au théâtre de l'Athénée.



Là encore, le titre nous a conquis. De même que la quatrième. Une fois le livre acquis, contre l'habituelle petite pièce, on s'est demandé si on ne l'avait pas déjà…



Une curiosité - l'adaptation en livre du premier film (un documentaire, 1963) de Bertrand Blier - tout autant d'ailleurs que la collection dans laquelle il est publié, éditée par l'Union Générale d'Éditions… comme 10/18 à laquelle elle a quelques traits de ressemblances. À la fin du volume, du reste on trouve deux listes de titres déjà parus, l'une pour Voici et l'autre… pour 10/18. 





La quatrième est alléchante. Le livre, malheureusement, est assez ennuyeux et surtout plombé par une traduction très pataude.




On possède déjà un exemplaire de cet ouvrage introuvable qui est sans doute le plus singulier et le plus fascinant écrit autour de Maurice Blanchot - de ses premières fictions, pour être précis, et notamment L'Arrêt de mort, avec ces deux derniers paragraphes mystérieusement écartés entre la première édition de 1948 et les suivantes. Une rareté, à tout point de vue.



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