Emplettes

commentaire : la couverture est assez spectaculaire (mais elle pas l'œuvre de Pierre Faucheux…), le prix n'est pas mal non plus, et le livre lui-même semble assez étonnant. Sauf erreur, on n'a jamais rien lu de François Nourissier.

 

Transition (presque) parfaite avec le livre précédent puisqu'on classe parfois François Nourissier dans la galaxie des Hussards. Willy de Spens en fit vraiment partie, lui. D'après ce qu'on a pu lire à son sujet ici et là, ce Derniers étés est un passionnant témoignage sur les années précédant la Seconde Guerre mondiale.








On n'a jamais lu Richard Millet. Ce court volume consacré à Maurice Blanchot, écrit deux ans après sa mort de l'auteur et suite à une visite dans sa maison du Mesnil-Saint-Denis, sera donc une première. 


L'écriture de Pierre Jean Jouve nous a toujours un peu rebuté. Mais le livre (de 1927) était en si bon état et si peu her qu'on n'a pas pu faire autrement que le prendre. D'autant qu'il y avait cette étrange dédicace à l'intérieur. On aimerait bien connaître l'histoire de Muriel et du mystérieux (ou de la mystérieuse) D.R.… 



Le livre était perdu au milieu de livres de poche à 1€, sur l'étal du bouquiniste de la place de Clichy. On l'a sorti du lot, on l'a feuilleté, et cette forme narrative étrange, au lieu de nous agacer (on est exaspéré par l'omniprésence du présent dans le paysage romanesque français actuel) nous a séduit. On verra bien.






On avait beaucoup aimé le Marx et Sherlock Holmes, du même auteur, paru dans la belle collection Fayard Noir. Si celui-ci est aussi bien…






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