commentaire : la bonne pioche de la semaine, trouvée sous la pluie dans le fond d'un carton. Le destinataire de l'envoi est d'un drôle de personnage, aussi romanesque que trouble, comme la France sait les inventer (voir ici)
Trouvés dans une caisse voisine. No comment.
On ne connaît pas bien l'histoire des éditions Tristram, créées en 1989, mais ce petit livre publié en 1990 et tiré à 1100 exemplaires doit être un de leurs premiers.
On n'ose par avouer combien on a payé ces deux livres de Georges Lambrics. Le premier a été publié en 1972 dans la jolie petite collection L'Envers. Quant au second, il fut publié 24 ans plus tôt aux Éditions de Minuit. Là aussi, une joli petite livre.
Jean Cardonne n'est autre qu'une certain Jeanne Laborde (voir ici)
Et Lange Lewis est aussi une auteure féminine, de son vrai nom Jane de Lange Lewis (voir ici)
Une vraie curiosité que ce Maurice Leblanc d'avant Arsène Lupin. C'est étonnamment moderne (on dirait un roman des années 1920) et il y a des pages formidables sur le vélo.
Une autre curiosité, signée par une femme politique espagnole dont la trajectoire est assez impressionnante (voir ici). Dans ce livre, publié en 1947, elle raconte avec précision la vie à Paris durant l'occupation.
On a mené quelques recherches, et il semblerait qu'un seul autre volume de cette collection ait vu le jour (Le Voyeur). C'est très olé-olé, illustré de “nus superbes” (c'est ce qui est dit dans la publicité) et le style est étonnant : on aimerait bien savoir quelle se cachait derrière le pseudonyme de Casinova…
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