Souvenirs de Vacances









Commentaires

  1. Hey! Mais c'est chez moi, ça!

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  2. La quatrième, tout au moins. La cinquième pourrait être "Machin Roi des Belges" vu de dos, un monument au mort sis au milieu d'une placette qui donne en face de l'un des deux grands ponts qui enjambent la rivière de ma ville, la campagne vue en 3 ressemble pas mal au bourbonnais, la forêt en 6 et 7 m'est relativement familière, mais je suis incapable de dire s'il s'agit de la montagne bourbonnaise ou de l'Auvergne, enfin la huitième, c'est facile : il s'agit du Parc des Volcans.

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  3. Trop fort ! Pour la statue, c'est bien à côté du pont de la ville-qui-n'a-pas-de-nom. Pour la 3, c'est un coin situé à la frontière du 63 et du 03 (donc du Bourobonnais). Pour la forêt, c'est en contrebas de chez les bénédictines de Chantelle(03, donc). Et pour la 8, ce sont les hauteurs du Mont-Dore. Un sans-faute pour vous, donc...

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  4. Elles sont jolies, vos photos, mais il s'en dégage une impression de grosse tristesse... On dirait que Paris vous manque. ^^

    J'en ai moi aussi, des qui montrent la-ville-qui-n'a-pas-de-nom, mais qui ne produisent pas la même impression. :)

    http://cid-1d5201dadaac5f21.skydrive.live.com/browse.aspx/My%20town

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  5. Si tristesse il y a, c'est plutôt parce que je savais que j'allais partir - après plus d'un mois passé là-bas. J'y vais depuis ma naissance, et je ne m'en lasse pas. Mais je vous raconte un peu ma vie, là. C'est curieux : à Paris, quand je dis que je passe mon été à une vingtaine de kilomètres de la-ville-qui-n'a-pas-de-nom, je vois souvent une moue de dégoût sur le visage de mes interlocuteurs... J'ai en effet reconnu certains coins familiers, sur vos photos.

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  6. Sans indiscrétion, vous avez de la famille du côté de l'Allier?

    Rien de curieux à leur moue de dégoût, vous savez. ^^ Il n'y a qu'à voir ce que Hortefeux pense des Auvergnats. ;)

    ... D'où l'intérêt de capturer le visage des petites façades Hausmanniennes de chez nous avec la lumière du soleil d'été levant. ^^ (Les photos de l'album que je vous ai linké datent de 2008. A cette époque j'écrivais la nuit et je sortais prendre la lumière du jour avant que la ville ne se lève, au tout petit matin. ^^)

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  7. Allez, je sais bien comment sont les éditeurs lorsqu'on leur parle d'écriture... C'est un comble, mais ces gens-là ne rêvent que de vivre dans une société qui méconnaîtrait parfaitement l'usage de la plume. Et ils ont en horreur par-dessus tout les jeunes filles qui ont des prétentions dans ce domaine...

    Je n'étais vraiment pas venue pour ça, sachez-le. Et je n'ai pas l'intention de vous embêter plus longtemps.

    - Enfin, vous saviez bien qui je suis, pourtant ! Ce à quoi je passe le plus clair de mon temps n'est un mystère pour personne, dans ces eaux. ^^

    A un de ces jours peut-être... Dans le train Paris-Clermont, qui sait... Et sans nous reconnaître. ^^

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  8. Rien compris. Ou plutôt, si. Vous vous méprenez... J'étais pressé, voilà tout. Et dire que les éditeurs "ont en horreur par-dessus tout les jeunes filles qui ont des prétentions dans ce domaine", c'est un peu méconnaître le milieu - même s'il n'y a plus beaucoup d'hommes dans l'édition...

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  9. J'ai dû faire de mauvaises rencontres, alors. M'est arrivé autrefois (ce devait être en 2006) de croiser un agent littéraire célèbre qui semblait prêt à s'intéresser à ce que je faisais dans la mesure seule où ce n'était pas de la littérature. Me voulait fraîche et inexpérimentée, une personnalité "à bâtir". Or bien que jeune j'avais déjà une personnalité très forte. Je ne l'avais pas attendu pour me forger mes propre mythes, m'inventer un crédo, et fonder pour moi seule une école de pensée en l'occurence ennemie de la sienne. Mal m'en a pris. Il s'est conduit brutalement et grossièrement avec moi.

    Ce genre de mésaventure laisse des cicatrices. Depuis rien ne me fait plus peur (à part peut-être le milieu du spectacle) que le milieu littéraire parisien.

    Sinon, il est vrai que les éditeurs en particulier, c'est une race que je ne connais pas.

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  10. Ne parlez pas de race, vous savez bien que ça n'existe pas...
    Vous commencez à m'intriguer, avec vos écrits. On peut les lire comment ? Attention, c'est uniquement par curiosité (je publie pour l'instant un livre par an...). Sinon, à ce train, on va bientôt pouvoir publier notre échange de commentaires (ha ! ha ! ha !)

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  11. M'enfin, c'est tout simple. ^^ Il n'y a qu'à cliquer sur mon avatar et aller sur mon blog.

    Je vous donne directement l'adresse puisque c'est demandé si gentiment. ;)

    http://mimisdiogenesclub.hautetfort.com/

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