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Commentaires

  1. Le Liberati m'est tombé des mains après une quinzaine de pages. Il a laissé son style au vestiaire pour faire le story teller. Déception.

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  2. Ouvrage de commande tout comme l'était déjà "Jayne Mansfield 1967", écrits de facture identique ; je ne saurais, bien sûr, vous en forcer la lecture mais ces quinze pages servent tout juste à planter le décor, croquer quelques silhouettes et, surtout, permettre au style "libératien" d'y effectuer ses travaux d'approche pour fictionner pleinement au moment où les expéditions meurtrières entrent dans leur phase active.
    J'aurais même tendance à trouver que la palette stylistique "libératienne" offre de nouvelles couleurs dont les pigments se trouvaient déjà dans le bouquin précédent, "Eva", déjà story telling de sa propre love story.

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  3. C'est noté. Là, je suis dans Sporting Club. Livre assez singulier, indolent, entre Robbe-Grillet et Modiano...

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  4. Votre retour de lecture de Sporting me sera très précieux, cher éditeur Singulier...
    Bien à vous,
    EV

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  5. Confession pour confession, pour ma part, c'est la page 15 de "les gommes" de Robbe-Grillet que je n'ai jamais réussi à dépasser et même si c'était il y a fort fort longtemps, il y a heureusement pour moi depuis prescription ET dépassement de la date de péremption... je n'y reviendrai pas, y compris sur ses ersatz et que Modiano me pardonne !

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