emplettes



commentaire : étrange livre, qui se présente comme la réédition en 2278 d'un autre livre, publié en 1928. On y découvre les prévisions d'un “professeur d'avenir” sur ce que sera selon lui le monde de demain. On a lu qu'un chapitre, amusant, et pas complètement idiot. Le prétendu auteur de la préface intervient régulièrement dans le cours du livre par le biais de notes, qui lui permettent de moquer gentiment les prévisions du “professeur” ou, au contraire, de souligner sa perspicacité ; elles lui permettent aussi d'éclairer le lecteur du XXIIIe siècle sur les étrangetés du Paris du XXe siècle - là encore, c'est assez drôle. 
En bonus, de jolies lettrines et des illustrations bien de leur temps.








Un livre de 1940 (dans un état assez miraculeux), dont la publication précède d'un an celle de la fameuse Vie de Mallarmé (1941-1942) du même auteur.


Sauf erreur, Patrick Mauriès publia dix livres d'Edward Gorey au Promeneur. Celui-ci est agrémenté d'une postface de PM. Il nous en manque sept pour avoir la collection.

La Chauve-souris dorée, suivi de La Visitation irrespectueuse - traduit de l'américain par Patrick Mauriès - postface de Patrick Mauriès (1993)
Le Grenier pentu, suivi de La Harpe sans corde sensible - traduit de l'américain par Michèle Hechter et Patrick Mauriès - postface de Patrick Mauriès (1993)
L'Aspic bleu - traduit de l'américain par Patrick Mauriès (1994)
La Bicyclette épileptique - traduit de l'américain par Patrick Mauriès (1994)
L'Invité douteux - traduit de l'américain par Michèle Hechter - postface de Patrick Mauriès (1994)
Le Curieux sofa - traduit de l'américain par Patrick Mauriès (1995)
Le Chien méfiant - traduit de l'américain par Patrick Mauriès (1996)
L'Autre statue - traduit de l'américain par Patrick Mauriès (1997)
La Visite mémorable : histoire vécue - traduit de l'américain par Patrick Mauriès (1998)
Le Buste sans tête : une triste méditation sur le faux millénaire - traduit de l'américain par Patrick Mauriès (2003)







Un livre acheté pour la petite carte collée sur la page de faux titre. Il y a deux encres distinctes, ce qui nous amène à penser qu'on envoya un stock de cartes à l'auteur (“absent de paris”), qui n'eut qu'à apposer sa signature sur chacune et à les renvoyer à l'éditeur…



Regardez bien cette couverture. Si vous ne remarquez rien, vous auriez fait un très mauvais correcteur… On a vérifié, et c'est le seul tirage (celui du neuvième mille) à souffrir de ce détail pour le moins  gênant. Sinon, le titre est parfait - et la table des matière alléchante au possible.





Commentaires

  1. La faute sur la couverture des confessions est le etc... ?

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  2. Je ne l'avais comptée… Là, c'est une faute. L'autre, c'est une grosse coquille…

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  3. OK, je l'ai maintenant (je ne fait donc pas un bon correcteur).

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