







commentaire : moisson tous-azimuts, comme on les aime. Avec notamment ce Mariage à la mode, que l'on avait eu la faiblesse de prêter et qu'on n'avait évidemment jamais revu. On a hâte de relire cette comédie post-wodehousienne qui nous avait hautement réjoui à l'époque. Le hasard veut que la traduction soit de Mimi Perrin, décédée le 16 novembre dernier. On a hâte aussi de découvrir le journal littéraire d'Edmond Buchet, éditeur discret mais important. Les pages de son journal courent sur un peu plus de trente ans, de 1935 à 1968.
Albalat est un grand homme.
RépondreSupprimerKeenan et Buchet sont bien tentants.
RépondreSupprimerJe viens de terminer le Buchet : c'est formidable ! Je vais essayer de faire un petit billet. Quant au Keenan, j'en garde le souvenir d'un pur moment de bonheur - comme tous ceux qui l'ont lu, du reste.
RépondreSupprimerQui Buchet place-t-il au firmament ?
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