commentaire : on a revu voici quelques mois avec passion ce Conversations secrètes, magistrale relecture coppolesque du Blow up d'Antonioni. La partition de David Shire participe amplement du climat étrange, désolé, souvent anxiogène, qui traverse le film. Pour une raison qu'on ignore, cette BO n'était jusque-là jamais sortie en vinyle. C'est chose faite, grâce à Trunk Records (voir ici). L'occasion, pour ceux qui ne les connaîtraient pas, d'écouter sans images ces pièces de piano mystérieuses et mélancoliques, un rien flippantes, ponctuées par les morceaux de jazz qu'écoute Harry Caul (Gene Hackman) dans le film.
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