Emplettes



commentaire : un ensemble de textes publié en 1997, coproduction entre Les Inrockuptibles et Grasset. Le texte de Houellebecq, génialement intitulé Approches du désarroi, l'emporte haut la main - enfin, selon notre goût.



Une pure curiosité, publiée en 1957 chez Albin Michel : l'évocation d'Elizabeth II par la princesse Bibesco. C'est court, écrit dans un style vivant (du Stéphane Bern en plus littéraire) et illustré de photos signées pour la plupart Cecil Beaton, qui était alors le portraitiste officiel de la cour d'Angleterre.


Fascinant… On serait curieux de savoir si cette pièce a été rejouée depuis sa création.



Il y avait tous les volumes, ou presque, de cette édition des œuvres complètes de Baudelaire. Si la plupart n'étaient pas en très bon état, quelques-uns avaient encore de la tenue. Dont celui-ci, qu'on a fini par prendre. 


La présentation de la première nouvelle de ce recueil, L'Auteur de Beltraffio, nous a donné envie d'en savoir plus. On a commencé la lecture : du James comme on aime, dans la lignée des Papiers de Jeffrey Aspern. C'est curieux, tout de même, de ne mettre que le nom de famille de l'auteur, sans prénom, en couverture…



On continue notre collection (un rien absurde) de certaines revues des années 70-80. C'est la première fois qu'on tombe sur un numéro de Change de l'époque où celle-ci était publié au Seuil.




Le moins qu'on puisse dire, c'est que Cabu ne l'a pas ratée, Françoise Sagan… À ce qu'on a pu voir, la  collection ne dura pas très longtemps. Les deux titres annoncés (à paraître) ne virent pas le jour. À la place, il y eut Michel Debré et Amin Dada… Ce volume sur Sagan est curieux : on ne sait pas trop où l'auteur veut en venir. Il défend Sagan, tout en l'enfonçant, dans un style un rien fatigant : l'auteur se fait plaisir.





On aurait pu ne pas le prendre, mais à 0,50 €, il était difficile de l'abandonner à son triste sort.



La maquette est plaisante, le programme séduisant, le résultat décevant. Une suite de courts extraits de livres, classés thématiquement, qui ont raison de la patience du lecteur et ne donnent pas un aperçu très intéressant de l'œuvre de Queneau. Mais cela nous a donné envie de relire certains de ses romans… 


On avait déjà trouvé deux volumes de cette Bibliothèque Laffont des Grands Thèmes chez un de nos vendeurs - et on a trouvé celui-ci chez un autre. On a hâte de voir comment le siècle actuel était imaginé dans les années 1970… 


Un de nos vendeurs a récupéré un stock gigantesque de revues gay des années 1970 à 2000. En farfouillant dans un des cartons, on est tombé sur ces exemplaires d'Olympe présentée comme une revue bisexuelle, mais qui s'adressait principalement à public homosexuel. Elle fut créée en 1968 par Pierre Guénin (voir ici) qui a à son actif de nombreux autres magazines : Eden, Olympe, Hommes et Jean-Paul. Si dans le numéro de 1972, aucun sexe masculin n'est visible, les choses deviennent plus explicite en 1974. 




Commentaires

  1. Voilà le problème du style Vandromme, un homme charmant qui m'avait reçu comme un prince pour une émission de radio sur Marcel Aymé, c'était un grognard qui se voulait parfois hussard.

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