Emplettes

commentaire : difficile de résister à une couverture pareille ! Et le livre, dont a déjà lu une quarantaine de pages, est des plus réjouissants : un style bondissant et des anecdotes à n'en plus finir, hilarantes quand elles concernent les improbables tournées théâtrales que Pauline Carton enchaîna à ses débuts. L'auteur, pour ne rien gâter, a un joli talent d'illustratrice. Préface express de Sacha Guitry, dont elle fut une des actrices fétiches. Il faut lire la fiche Wikipédia (ici) de l'actrice pour découvrir une femme (bourgeoise et cultivée) assez éloignée de l'image que le théâtre et le cinéma lui ont donnée.


 


Là aussi, difficile de résister à la couverture - et au titre, qui laisse penser qu'on ne va pas faire dans la tragédie. On connaît certains des écrits de Maurice des Ombiaux sur le vin et la gastronomie ; on découvrir l'autre versant de son œuvre, qui semble lorgner du côté d'auteurs de “romans gais” comme Clément Vautel ou Georges de la Fouchardière.


Le titre est très beau, et le propos passionnant. Une vraie curiosité. L'auteur, de son vrai nom Pierre Debray-Rizen, était médecin — et ne tenait apparemment pas la psychanalyse en grande estime.






Une belle édition (Club Français du Livre, 1964) de ce classique d'Horace Walpole, avec une traduction nouvelle et douze gravures de Salvador Dalí en guise d'illustrations.





Le livre n'est pas en très bon état, mais la couverture, dans son dénuement, nous a saisi. Et la lecture des première lignes du texte a suffi à nous convaincre de ne pas laisser cet exemplaire au triste sort qui lui était promis…



On n'aurait sans doute pas pris le livre, sans l'envoi. Claude Bolling n'est a priori pas trop notre tasse de thé, un côté “jazz à papa policé”, un jeu au piano brillant mais froid. Mais en lisant le sommaire, on a découvert que les choses était plus compliquées qu'on ne le pensait. Claude Bolling a croisé du beau  monde, tout au long de sa carrière, il a composé des musiques de film, il a produit des albums de variétés… Bref, on va peut-être de quoi il retourne.




Encore un livre avec envoi, du très oublié André Demaison, dont ce Livres des bêtes fut pourtant un immense succès. 



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