Emplettes


commentaire : de la même autrice, on avait trouvé il y a quelques années L'Ordonnatrice, qui avait connu en son temps un certain succès. On avait découvert à l'occasion la sidérante biographie de cette étrange personne (voir ici).


Dans la même série, on avait Les mauvais lieux de Londres et Les mauvais lieux de Paris. Il nous reste à trouver Les mauvais lieux des environs de ParisLes nouveaux mauvais lieux de Paris et Les mauvais lieux de le Côte d'Azur, tout trois signés Ange Bastiani.

On ne connaissait Jacques Vaché que de loin, à travers la légende qu'on (André Breton le premier) a tissée autour de son histoire et de sa non-oeuvre. Le livre, court et bien mené, permet d'y voir un peu plus clair, sans pour autant élucider le mystère Vaché. 




On l'a acheté pour cette illustration, la jaquette en parfait état et le prix (0,50€). Et puis, on s'est rendu compte que le roman faisait partie d'une série de récits d'espionnage qui semble plus intéressante que les polars un peu caricaturaux du même auteur. Celui-ci commence en France, sous l'occupation… A noter que l'illustration française est calquée sur l'illustration anglaise… à ceci près qu'en fond, on a remplacé le mur par un comptoir de bar, histoire de coller à cette réputation qu'on les personnages des romans de Cheyney de sérieusement boire… 

Là, on a été attiré par le titre, la quatrième et les pages qu'on a feuilletées, et le bandeau signé Charles Berberian. Le roman se lit d'un trait, agace parfois par certaines facilités, mais laisse au bout compte une excellente impression. En tout cas, cela donne envie de s'intéresser aux autres livre de François Armanet.









Un livre de 1928, sérieusement daté (même si Henriot est un esprit ouvert et curieux) mais qu'il n'est pas intéressant de conserver dans sa bibliothèque, à tout hasard.



On l'avait déjà (voir ici pour l'histoire un rien pathétique de Michael Kearns qui prêta, pour le meilleur et le pire, son visage à la couverture de ce livre canular), mais il était ici en parfait état. Et on l'a trouvé en même temps que le roman suivant, ce qui nous a fait sourire.



C'est le deuxième roman de François-Marie Banier, et franchement, c'est assez scotchant. 











On l'a trouvé dans une boîte à livres. Il est en parfait état, le titre lui-même est également parfait, et on adore l'illustration de Michel Gourdon, avec cette DS en train de flamber…



Il est en piètre état, mais pour quelques euros, on a récupéré une eau-forte de Bons de Mandiargues…



Un plaisant exercice de style autour d'un personnage imaginaire, qui permet à l'auteur d'évoquer toute la grand époque d'Hollywood. Pas fondamental, mais se lit avec plaisir - c'est déjà ça…



Publiée d'abord chez agnès b. en 1997, et réédité chez Allia 20 ans plus tard (il était offert pour l'achat de deux livres de l'éditeur), cette curiosité n'est pas sans rappeler le travail qu'effectue aujourd'hui Clémentin Mélois. L'autrice à passer des heures et des heures à feuilleter des annuaires, à repérer certains patronymes, à les découper, puis à former des petites annonces “rencontres”. C'est très drôle. Et très XXe siècle puisque, sauf erreur, il n'y a plus d'annuaires téléphoniques…




On ne connaissait pas l'existence de ce livre, bourré d'illustrations et écrit par un auteur qui connaît son sujet. 





Commentaires