Emplettes


Commentaire : ce n'est pas la première édition, mais le livre n'en reste pas moins merveilleux avec ses illustrations signées Edward Gorey. On l'ignorait, mais c'est cet ouvrage de T.S. Eliot qui inspira Andrew Lloyd Webber pour sa célébrissime comédie musicale Cats.

 





 


On a payé une misère (moins que ça, même) les quatre catalogues de cette vente mythique, soit près de 800 pages richement illustrées et emplies d'objets et œuvres d'exception. Dans le premier volume, on trouve les fameuses aquarelles (plus d'une soixantaine) que réalisa Alexandre Serenriakoff à partir des différentes pièces du château de Groussay.






Il est en piètre état (à tel point que le vendeur de la boutique où on acheté les quatre catalogues précédents nous en a fait cadeau…), mais ainsi, avec ses taches et salissures, son bout d'étiquette, ses traces d'autres étiquettes, il a quelque chose d'assez artistique. Il est publié dans le cadre d'un collection ("Auteurs") qui “présente des écrivains majeurs de la pensée française contemporaine”, collection qui est envoyée “à tous les établissements culturels français à l'étranger qui en assurant la diffusion auprès de leurs partenaires“. On n'a pas encore lu le livre, qui fait une centaine de page.






On l'ignorait, mais c'est à la suite de ce numéro de Charlie Hebdo du 12 avril 1971, que le fameux Manifeste des 343 paru dans le Nouvel Observateur du 5 avril de la même année est parfois appelé - à tort, donc - le Manifeste des 343 salopes.




C'était trop beau pour être vrai : cette espèce de manifeste, publié en en 1977, est en réalité un canular que l'on doit à Dominique Noguez (dont le nom se dissimule derrière les ceux des prétendus auteurs de l'ouvrage). On a hâte de le lire. Par ailleurs, on est très intrigué par le catalogue pour le moins hétéroclite des éditions Hallier…






C'est apparemment un des premiers textes publiés sur Auschwitz (1945).


Un livre proche de l'illisible (en plus du fait qu'on ne supporte pas les clowns), que l'on a pris pour l'envoi de l'auteure et le dessin d'Édouard Pignon - lequel a réalisé la couverture et fut le compagnon d'Hélène Parmelin.




Là encore, on flirte assez souvent avec l'illisible, dans un autre genre - surtout quand Jean Ricardou commence à théoriser…


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