Emplettes



Commentaire : une curiosité, la cassette d'une version abrégée de Frankenstein lue par James Mason, lequel a d'ailleurs joué dans un téléfilm de 1973 intitulé Frankenstein : The True Story (voir ici). Existe aussi en vinyle. Et s'écoute sur YouTube (voir plus loin)






Commentaire : un livre assez rare, puisque saisi deux jours après sa publication, en avril 1961. L'auteur, qui avait été envoyé Algérie pour son service militaire, livre un tableau assez cru des atrocités commises des deux côtés, et notamment par les militaires français - d'où, on imagine, l'interdiction du livre.



Un livre sans filtre de l'univers des boîtes gay new-yorkaises et des go-go boys.



On ne connaissait pas cet auteur, mais la quatrième de couverture, la “caution” Jaccottet et un feuilletage rapide nous ont convaincu de prendre ce livre trouvé chez Boulinier dans un bac de livres à 0,20 €.



Trouvé au même endroit et au même prix, une curiosité, pour ne pas dire une rareté, cet ensemble de photographies de l'artiste singapourien John Clang, catalogue d'une centaine de pages imprimé pour une exposition de organisée chez Colette en 2002. 







Le genre de livre dans lequel on espère toujours trouver une petite notice sur un auteur mineur, sous-estimé, oublié qui mériterait qu'on s'intéresse à lui.  


Publié dans la même collection que l'étonnant Bambois, La Vie verte de Claudie Hunzinger, trouvé récemment (voir ici). Le livre a été publié en 1978, et comme Bambois, il se révèle d'une étonnante actualité, avec la nouvelle vague de néo-artisans et autres reconvertis qui prend un peu plus d'ampleur depuis quelques années.   



Trouvé dans la rue, dans une caissette de livres. La couverture est une horreur ; le livre, lui, est vraiment trop long. L'auteur lui-même en reconnaissait “la bêtise et la prétention”. 



1962. On reste assez perplexe.






Yves Martin a ses fans. On n'en est pas, mais on ne pouvait pas laisser passer ce livre de 1987 des jolies éditions Le Tout sur le Tout - dont on conserve jalousement les rééditions de Paul Gadenne, au premier rang desquelles celle de La Rue profonde.



Trouvé par terre, à Aligre, dans les rebuts dont les brocs du marché de la Place ne veulent même pas. Pour la couverture et la nostalgie. 



On ose à peine montrer la chose, dont le titre et la couverture sont sans conteste ce qu'on a trouvé de pire depuis longtemps. Le contenu est en parfaite harmonie, avec des photos d'une laideur absolue, de sources diverses, en noir et blanc, en couleurs, sans aucun rapport avec le texte, lequel texte est d'une pauvreté et d'une vulgarité confondantes. Un must, dans son genre, millésimé 1974.


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