Emplettes

 

commentaire : une merveille de petit livre, qui nous renvoie à des souvenirs de lectures - Barbey d'Aurévilly et Edgar Poe,  notamment.




Ce programme a plus de cinquante ans, et on envie un peu ceux qui ont pu assister aux représentations du Pink Floyd Ballet les jours où le groupe était sur scène avec les danseurs (il y a des images sur YouTube - et, avoons-le, la chorégraphie de Roland Petit a pris un léger coup de vieux…). Le programme contient des photos signées Richard Avedon et Helmut Newton. 






Une curiosité : ce volume un peu particulier de la collection Célébration de Robert Morel, puisqu'il est accompagné d'un disque.






Première édition de ce Ray Bradbury qu'on ne connaissait pas. La quatrième de couverture n'est pas très claire, mais le roman semble vraiment bien.

Une brochure italienne publiée en 1948. Un assez grand format, près de 90 pages, et un travail impressionnant, avec une prédilection de l'auteur - nous a-t-il semblé - pour les romans de flagellation… On ignore qui était Domenico Fusco - peut-être s'agit-il d'ailleurs d'un pseudonyme. En tout cas, il publia sous le même nom la revue Curiosa (voir plus bas), qui ne dura qu'un an (1949) et lui valut quelques problèmes avec la justice.





Très étonné de trouver Jean-Louis Bory dans la collection Textes de chez Flammarion (dirigée alors par Michel Nuridsany), on s'est avisé qu'il ne s'agissait pas de Jean-Louis, mais de Jean-François Bory… On a trouvé les premières pages assez amusantes et on s'est donc laissé tenter.





C'est la toute première édition (1957) d'un livre dont le sommaire laisse rêveur : I. La maison. De la cave au grenier. Le sens de la hutte - II. Maison et Univers - III. Le tiroir. Les coffres et les armoires - IV. Le nid - V. La coquille - VI. Les coins - VII. La miniature - VIII. L’immensité intime - IX. La dialectique du dehors et du dedans - X. La phénoménologie du rond.


On ignore pour quelle raison le livre a attiré notre attention, parmi les centaines de dos sur lesquels on promenait rapidement notre regard. On l'a sorti de sa rangée, on l'a ouvert au hasard et on est tombé sur la page 47 (voir plus bas), qui nous a stupéfait. C'est après coup que l'on a découvert qui était Léon Schwarz-Abrys (avant tout connu comme peintre - voici ici sa fiche Wikipédia) et son histoire incroyable. Il faut visiblement avoir l'estomac bien accroché pour lire le livre. La dédicace est aussi spirituelle que glaçante quand on connaît le contenu de cet Âne qui ne monte pas au Cerisier.









Un titre pareil, ça attire l'attention. On a jeté un coup d'oeil sur notre téléphone pour voir de quoi il retournait, et on est tombé sur un article de Babelio(à découvrir ici), extrait d'un blog qu'on ne connaissait pas, alimenté de façon très sporadique, mais qui témoigne d'un goût certain pour le singulier (voir ici). L'enthousiasme du scripteur nous ayant plus que convaincu, on a pris le livre et on l'a commencé le jour même. Un vrai bonheur !


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